mardi 22 septembre 2009

Le livre noir des villes de gauche, 22/09/2009

Cet été, je vous avais conseillé le livre noir des régions socialistes. Chacun avait pu lire ainsi les erreurs ou autres drôleries des socialistes quant à la gestion des régions de notre pays. Je vous suggère aujourd'hui de lire celui concernant les villes gérées par la gauche.

Comme pour le livre précédent, celui-ci apparaitra surprenant pour beaucoup mais pas pour les habitants de Villepreux, ils ont connu cela pendant plus de dix ans. Qu'ils gèrent nos régions, nos départements ou nos villes, ils restent les mêmes. Ils sont les premiers à donner des leçons, les premiers à se mettre en scène, les premiers également à être remplis de vide.

Le livre noir des villes de gauche dans le texte ...

Jacques Domergue, Député de l’Hérault, Président du Groupe d’opposition UMP-NI - Montpellier, extrait de l'avant-propos

"Déjà 1 an que les nouveaux exécutifs municipaux sont en place et l’heure du premier bilan a sonné. La grande majorité des grandes villes de France sont gérées par des majorités socialistes, depuis peu (Toulouse, Strasbourg, Metz, Reims….) ou depuis fort longtemps (Lille, Montpellier, Grenoble, Nantes…). Nous n’avons pu conserver que 3 villes parmi les 10 plus grandes : Marseille, Nice et Bordeaux.

L’analyse de la situation politique des grandes villes de France nous a conduits à un constat : la sociologie des villes a changé, les centre villes ont entrepris une véritable mutation de population au dépend de la bourgeoisie traditionnelle et au profit d’une population plus jeune, véritable « boboisation » comme on le voit dans certains quartiers de Paris. C’est dire s’il est devenu difficile pour nos équipes d’opposition municipale de s’y faire entendre et d’y préparer une alternance crédible.

Le travail coopératif que nous présentons se veut objectif, factuel, collectif pour montrer aux citoyens résidants dans ces grandes villes que la politique qui y est menée n’est pas toujours la meilleure, la plus respectueuse des populations et des quartiers, la moins sectaire, la plus rigoureuse dans une gestion financière souvent dispendieuse et peu économe. En période de crise, plus encore, les maires et leurs adjoints doivent infléchir leurs programmes afin de répondre aux attentes de leurs administrés, en terme de services rendus, d’emploi, de logement, de sécurité et de qualité de vie."