lundi 6 septembre 2010

Un faux vandale, deux vrais saboteurs

Devons-nous répondre à l'insulte ? Devons-nous pointer du doigt l'irresponsabilité ? Dois-je répondre à l'opposition ? La plupart du temps, je dis simplement que cela n'est pas possible sinon je passerai mes journées à cela. Mais certaines fois, il est impossible de se taire et rester silencieux.

Une opposition peut prendre plusieurs formes : elle peut être intelligente en participant aux débats et en apportant des idées constructives, elle peut être pertinente en mettant en lumière certains choix non judicieux, elle peut être stupide également en attaquant systématiquement sur tout et en privilégiant la démagogie et les mensonges.

L'opposition municipale a choisi cette derrière forme et cela depuis mars 2008. Elle ajoute désormais à la médiocrité, l'insulte et l'irresponsabilité. 
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L'insulte, c'est m'accuser d'être le responsable de la destruction de la statue "La femme et  l'enfant" (cf. article du 1er juillet 2010, "Quand la connerie dépasse l'entendement.") en me traitant de vandale et en me mettant au même niveau que ceux qui n'ont pas hésité à la briser et à la piétiner.

L'irresponsabilité, c'est lorsqu'un conseiller municipal de l'opposition va au-delà de ses prérogatives pour ralentir notre projet de Parc sportif. C'est lorsqu'il appelle directement l'entreprise n'ayant pas été retenue pour la construction du terrain de football synthétique en émettant ainsi des doutes sur la sincérité du processus de sélection.

L'irresponsabilité, c'est lorsque la chef de file de l'opposition, au travers de son parti "Front de Gauche", demande le retrait de l'étude de la demande de subvention pour ce même terrain au Conseil régional alors qu'elle l'avait elle-même votée pour Noisy-le-Roi et Bailly l'année dernière. C'est lorsqu'elle prive ainsi l'ensemble des Villepreusiens d'une rentrée financière.
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Nous avions bien un faux vandale, mais deux vrais saboteurs de projets : la reine déchue avec sa couronne de papier accompagnée de son bouffon, hystérique et courant autour d'elle. Deux vrais saboteurs ne se rendant plus compte aujourd'hui à quel point ils ne représentent rien.