Le beach soccer est né l'année dernière d'un objectif et d'une idée : l'objectif de faire bouger et rayonner Villepreux, l'idée de ne pas reproduire ce qui avait déjà été fait auparavant.
Le beach soccer est l’exemple d’une collaboration efficace, de celle nécessaire à l’organisation d’évènements majeurs dans la commune, de l’implication de l’ensemble des acteurs de la vie de notre ville.
Avant tout, les commerçants organisés de nouveau en association et qui refusent de voir inexorablement le commerce de proximité disparaitre. Ils participent activement et de plus en plus aux manifestations organisées dans la commune. J’aime citer Villepreux Football Club comme l'association exemplaire. Elle participe à l’animation de la commune juste pour apporter du bonheur à chacun et notamment aux plus jeunes. Les services municipaux qui ont adhéré à ce projet et ont beaucoup donné pour sa réussite. Et enfin, les élus, qui répondent toujours présents lorsqu'il s'agit de porter une idée si celle-ci va dans le sens de l’intérêt général.
Je voulais également remercier Messieurs Fournier, Guerin, Olive et leurs amis pour avoir accepté de participer au match de clôture, cela sans avoir quelque chose à vendre ou à attendre en retour mais juste par l'amour de leur sport et le souhait de transmettre leur passion.
Alors, la question était déjà posée hier soir par certains "le beach soccer sera-t-il reconduit en 2010 ?". Il est trop tôt pour répondre à cette question mais nous avons déjà listé des pistes d'amélioration potentielle : la participation d'équipes de jeunes issus du canton, l'organisation de cet évènement conjointement avec une autre manifestation, la gratuité de celui-ci, l'inscription possible directement chez les commerçants.
J’entends aussi certains déjà dire que seulement 32 équipes ont été présentes en 2 jours ½. Ce sont souvent les mêmes qui ne proposent rien pour changer les choses. Je leur réponds que moi aussi j’aurais préféré voir 72 ou 90 équipes jouer, prendre et donner du plaisir. L'important est au-delà de données statistiques. L'important est d'essayer de changer les choses, d'apporter de la vie au centre de ville, d'organiser des évènements pour les plus jeunes.
Nous continuerons d'innover car depuis plus de 2 ans maintenant, je répète une phrase, elle avance avec moi. "La pire des choses est l'immobilisme, celui qui consiste à regarder le temps passer et à dire qu'il n'y a rien à faire pour améliorer l'existant."
Le beach soccer est l’exemple d’une collaboration efficace, de celle nécessaire à l’organisation d’évènements majeurs dans la commune, de l’implication de l’ensemble des acteurs de la vie de notre ville.
Avant tout, les commerçants organisés de nouveau en association et qui refusent de voir inexorablement le commerce de proximité disparaitre. Ils participent activement et de plus en plus aux manifestations organisées dans la commune. J’aime citer Villepreux Football Club comme l'association exemplaire. Elle participe à l’animation de la commune juste pour apporter du bonheur à chacun et notamment aux plus jeunes. Les services municipaux qui ont adhéré à ce projet et ont beaucoup donné pour sa réussite. Et enfin, les élus, qui répondent toujours présents lorsqu'il s'agit de porter une idée si celle-ci va dans le sens de l’intérêt général.
Je voulais également remercier Messieurs Fournier, Guerin, Olive et leurs amis pour avoir accepté de participer au match de clôture, cela sans avoir quelque chose à vendre ou à attendre en retour mais juste par l'amour de leur sport et le souhait de transmettre leur passion.
Alors, la question était déjà posée hier soir par certains "le beach soccer sera-t-il reconduit en 2010 ?". Il est trop tôt pour répondre à cette question mais nous avons déjà listé des pistes d'amélioration potentielle : la participation d'équipes de jeunes issus du canton, l'organisation de cet évènement conjointement avec une autre manifestation, la gratuité de celui-ci, l'inscription possible directement chez les commerçants.
J’entends aussi certains déjà dire que seulement 32 équipes ont été présentes en 2 jours ½. Ce sont souvent les mêmes qui ne proposent rien pour changer les choses. Je leur réponds que moi aussi j’aurais préféré voir 72 ou 90 équipes jouer, prendre et donner du plaisir. L'important est au-delà de données statistiques. L'important est d'essayer de changer les choses, d'apporter de la vie au centre de ville, d'organiser des évènements pour les plus jeunes.
Nous continuerons d'innover car depuis plus de 2 ans maintenant, je répète une phrase, elle avance avec moi. "La pire des choses est l'immobilisme, celui qui consiste à regarder le temps passer et à dire qu'il n'y a rien à faire pour améliorer l'existant."